La géodésique des constellations

Géodésique : chemin le plus court entre deux points d’un espace pourvu d’une métrique. Lorsque l’on change les notions de distance, les géodésiques de l’espace peuvent prendre une allure très différente.

Voila, ici je peux faire ce que je veux ! Et vous êtes là pour ça… Je remonte donc cinq ans en arrière pour vous montrer l’impubliable à l’époque. Je vous ressortirais régulièrement des archives, j’espère que ça vous plaira… peut-être même que ça m’encouragera à reprendre là où je me suis arrêté.

La Géodésique des Constellations, n’a jamais eut de format vraiment établi. Je l’ai parfois imaginé comme un album physique et j’ai été jusqu’à penser à des courtes animations pour une publication en ligne. Je souhaitai un format panoramique, c’est pourquoi toute les images sont en 21/9.

C’est l’histoire de Cass’ (Cassiopea) et du Major Arctos (Ursa Major), deux chasseurs de prime qui enchainent les contrats sur Terre dans l’espoir lointain de pouvoir se payer enfin une navette spatiale. Lui est ancien des forces spéciales. Oui, il a tout d’un ours… presque tout. Son corps a été totalement modifié, même génétiquement, pour prendre le meilleur de l’homme et de l’ours. Il a déjà traversé un bout de la galaxie pendant son temps de service et l’espace lui manque…

L’histoire commence ainsi :

J’étais en pleine expérimentation. La GdC était un espace de plaisir et c’est probablement une des première fois ou je racontait vraiment les choses comme j’avais envie. C’est probablement un des essais qui m’a permis de me libérer et qui donnera quelques années plus tard Une Forêt de Bouleaux – de Léin.

Une autre tentative d’illustration pour la suite…

Et puis, un petit flashback où l’on commençait a découvrir le passé de Cass’. J’avais cette idée en tête en écrivant cette histoire : Cassiopea et Arctus Major sont séparés dans le ciel par la voie lactée, mais, lorsque l’on change de point de vue, tous les deux sont enfin réunis.

Le point de vue, tiens… encore un des actes fondateur de ma façon d’écrire.

La 3D s’était déjà invité dans la première partie, mais dans cette partie elle commence à s’intégrer plus finement et m’a forcé dans la gestion des couleurs.

C’est ainsi que tout s’arrête sur mon ordinateur… mais eux deux ont encore une place dans un coin de mon cerveau… J’espère les retrouver un jour…

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